LOGEMENT IDEALE / HABITAT INTEGRE - MONTGISCARD
METAPHORE
Le dessin représente une métaphore de l’espace qui se situe entre l’intérieur et l’extérieur, il est défini par le dégradé qui est entre le blanc et le noir (extérieurs / intérieurs). Un dégradé parce que l’espace en question n’est pas déterminé, et n’existe pas vraiment, car se plaçant entre deux entités qui le définissent.
INTENTIONS:
l’insertion dans le site suit la logique d’un parcours définie entredeux pointss. ces derniers ont une importance majeure dans le site et le village (place du Fiorail & l’école du village), à travers ce parcours on remarque plusieurs séquences de dilatation et de décroissement d’espace, traduit par des passages étroitsdonnants sur des cours, des espaces plus grand, un jardin, une voie plus large ou un dégagement.
INSERTION:
cet aspect de variation d’espace crée un ressenti qui diffère et change à travers le parcours, au fur et à mesure qu’on se faufile à l’intérieur du tissue urbain, on est à chaque fois surpris et guidé par des séquences caractérisées par une fonction ou par une symbolique (jardin : fonction de loisirs / place du Fiorail : mise en valeur de l’église)
FIGURE:
à partir de la métaphore, découle une première figure, qui semble exprimer une intention. Sous forme de coupe, on retrouve les notions d’intérieurs (espace couvert) et extérieurs (espace découvert).
Ainsi, à partir de cette forme, l’exercice consiste à intégrer les fonctions, de traiter l’usage à l’intérieur de cette forme (ex : partie jour / partie nuit) et d’étudier la lumière, notamment dans la partie intérieure qui génère un espace sombre.
SPATIALITE / FORME:
en conséquence la maison idéale qui regroupe les intentions du départ, n’est ni adapté au site ni au type de densité sur laquelle on travaille (100 logts/H) de par son assiette de 150 m², elle prend beaucoup d’espace sur le site. La démarche consiste à adapter la cellule aux exigences de notre exercice (densité)